L’Opus Dei est un mouvement de laïcs chrétiens créé par José María Escrivá de Balaguer, dont la personalité reste très discutée alors même qu’il sera canonisé dans peu de temps par le pape Jean-Paul II. L’Opus Dei est réputé pour son amour du secret, ce qui ne fait que renforcer l’idée selon laquelle il constituerait une puissance occulte cherchant à s’infiltrer dans l’Église et dans la société civile. Tout cela est-il vrai ou seulement le fruit de phantasmes ? L’article ci-dessous fait le (...)
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Artículos
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DIAL 2567
CHILI - Situation de l’Église au Chili 1. Puissance de l’Opus DeiJaime Escobar
16 juin 2002, mis en ligne par Dial -
DIAL 2506
BRÉSIL - Dans sa lutte contre le sida, le Brésil refuse de plier devant les droits acquis par un laboratoire pharmaceutique suisse 15 octobre 2001, mis en ligne par DialArticle paru dans La Jornada, Mexique, 24 août 2001. Dans une décision sans précédent, le ministère de la santé brésilien a annoncé le 23 août qu’il commencerait à produire en janvier prochain le médicament générique contre le sida, Nelfinavir, dont le brevet est détenu par le laboratoire suisse Roche. Le ministre José Serra a expliqué que cette mesure, par laquelle il choisit de ne pas respecter le brevet de Roche sur le médicament antiretroviral, répond au refus du laboratoire (...)
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DIAL 2444
MEXIQUE - Un nouveau cas de biopiraterie. Les haricots de la discordeDiego Cevallos
1er février 2001, mis en ligne par DialLes cas de biopiraterie de la part des pays riches, notamment des firmes nord-américaines, sont déjà fort nombreux. Après avoir récemment présenté le problème posé par l’appropriation des caractéristiques d’une boisson maya millénaire par une transnationale et par une université nord-américaines (cf. DIAL D 2419), voici le cas d’une variété de haricots cultivée depuis des siècles au Mexique, qui est devenue la propriété exclusive, grâce au brevet déposé, d’une entreprise nord-américaine. (...)
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DIAL 2319
MEXIQUE - Un nouveau cas de biopiraterie ? Une transnationale et une université nord-américaines s’approprient les propriétés d’une boisson maya millénaire. Les Indiens contestent le brevet et revendiquent leurs droits.Jim Cason et David Brooks
1er novembre 2000, mis en ligne par DialCe n’est pas la première fois que laboratoires et universités du Nord cherchent à contrôler l’utilisation des connaissances millénaires des peuples indigènes d’Amérique latine (cf. DIAL D 2045, 2136, 2303). La procédure commence par une enquête sur le terrain et se termine par un dépôt de brevet au profit de l’entreprise du Nord, ce qui prive les peuples indigènes de toute utilisation commerciale de leurs propres produits. Les bénéfices de l’invention millénaire sont ainsi détournés. Il y (...)
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DIAL 2387
MEXIQUE - Un syndicat dénonce l’exploitation dans les « maquilas »Diego Cevallos
16 juin 2000, mis en ligne par DialVoir l’introduction de DIAL D 2385. Ci-dessous, article de Diego Cevallos (Mexique), diffusé par IPS, mai 2000. Selon une organisation syndicale indépendante, l’exploitation des travailleurs dans les ateliers situés dans les zones franches du Mexique s’est aggravée en 1999 et les plaintes déposées contre ce secteur par les travailleurs ont augmenté de 25 %.
Bertha Luján, coordinatrice du Front authentique du travail (FAT) qui dit rassembler 30 000 ouvriers et paysans a déclaré à IPS que (...) -
DIAL 2386
EL SALVADOR - Le droit des travailleurs systématiquement violéJosé Mirio González
16 juin 2000, mis en ligne par DialVoir l’introduction de DIAL D 2385. Ci-dessous article de José Mirio González, conseiller juridique du Comité des familles des victimes des violations des droits humains « Marianela García Villa » (CODEFAM) en El Salvador, paru dans Brecha/CODEHUCA (Costa Rica), juin-août 1999. L’activité des maquilas en El Salvador est devenue une des principales activités économiques après la signature des Accords de paix ; la preuve en est que, en 1991, elle n’atteignait même pas 1 % des exportations et (...)
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DIAL 2385
HONDURAS - La « maquila » ou le retour à l’esclavageThelma Mejía
16 juin 2000, mis en ligne par DialLes entreprises appelées maquilas ou maquiladoras sont des ateliers d’assemblage travaillant pour l’exportation, installés dans des zones franches d’Amérique centrale, jouissant de diverses exemptions, dépendant d’entreprises le plus souvent d’origine asiatique ou étasunienne et utilisant une main-d’œuvre essentiellement féminine. Le faible coût de la main-d’œuvre est la raison majeure de l’attrait exercé par ces pays sur les entreprises étrangères, à quoi s’ajoute la possibilité de (...)
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DIAL 2296
CHILI - Les Mapuches exigent le respect de leurs droitsDaniel Montalvo Cepeda
16 mai 1999, mis en ligne par DialDepuis des mois, le Chili est sous le coup d’un vent de révolte des Mapuches. Ce peuple originaire, dont la population est estimée à un million de personnes au Chili, voit son territoire de plus en plus amputé par des entreprises forestières, des projets de construction de barrages, etc. Il revendique ses droits avec détermination. Article de Daniel Montalvo Cepeda, paru dans ALAI, le 12 avril 1999. « Rébellion mapuche », « Soulèvement indigène dans la Araucanía », « Les Mapuches attaquent (...)
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DIAL 2293
Amérique du Sud - Face à la crise économique. La maquila serait-elle une solution ?José Miguel Munárriz
1er mai 1999, mis en ligne par DialLe terme maquila est désormais connu pour désigner des entreprises d’origine étrangère qui s’installent dans des zones franches d’Amérique centrale pour y effectuer divers travaux d’assemblage pour des produits destinés à l’exportation. Ces entreprises sont attirées par une main-d’œuvre féminine bon marché ainsi que par divers avantages économiques concédés par les gouvernements (cf. DIAL D 2048, D 2163). L’Amérique du Sud sera-t-elle tentée à son tour de voir dans la maquila l’une des (...)